peuton subordonner las droits de l'homme Ă la raison d'Etat
Sujets / La politique / L'Etat /
Un début de problématisation ...
Les Droits de l’homme sont naturels et universels, ils trouvent leur origine dans la
philosophie du 17 et 18ème siècles et furent proclamés en août 1789 en France. Ils affirment le
droit inviolable de tous à la vie, à l’égalité et à la propriété. Mais après les horreurs du deuxième conflit mondial, une Déclaration Universelle les a repris et complétés sous l’égide de l’Onu. Car ils n’ont cessé d’être bafoués depuis la Révolution française. Entre autres il est arrivé que des
hommes meurent ou soient emprisonnés et privés de leurs biens par des gouvernements, au nom de ce qu’on appelle la
raison d’Etat : celle ci consiste dans le refus par un Etat, au nom du bien général, mais presque toujours en secret, respecter les
droits d’une personne humaine. La
raison d’Etat n’a théoriquement pas de valeur morale, et ne doit pas subordonner les
droits de l’homme : voyons en quoi cela est exact.
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A-t-on raison de distinguer l’homme radicalement du reste du monde vivant (autres espèces) ou bien doit-on reconsidérer notre place dans la nature en accordant plus de droits et de respect à la biosphère en général (nos frères animaux, nos cousines plante -
L'homme, l'humain
Citations sur peuton subordonner las droits de l'homme Ă la raison d'Etat :
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. (1789)
-
DĂ©claration des Droit de l'Homme
Un homme qui vient d'être placé ne se sert plus de sa raison et de son esprit pour régler sa conduite et ses dehors à  l'égard des autres ; il emprunte sa règle de son poste et de son état : de là  l'oubli, la fierté, l'arrogance, la dureté, l'ingratitude. -
Jean de La Bruyère
Après tout, les droits de l'homme avaient été définis comme "inaliénables" parce qu'ils étaient supposés indépendants de tout gouvernement; or il s'est révélé qu'au moment où les êtres humains se retrouvaient sans gouvernement propre et qu'ils devaient se rabattre sur leurs droits minimum, ils ne se trouvaient plus ni autorité pour les protéger, ni institutions prêtes à les garantir. -
Arendt
Les droits de l'homme en général ne sont pas les privilèges qu'un groupe humain plus ou moins clos revendique par rapport à un autre groupe humain... Le droit de vivre, le droit d'exister et de respirer, le droit à la liberté sont des droits élémentaires qui n'ont ni goût ni saveur, ils vont de soi... -
Jankélévitch
Rien n'est si doux que lui (l'homme) dans son état primitif, lorsque, placé par la nature à des distances égales de la stupidité des brutes et des lumières funestes de l'homme civil et borné également par l'instinct et par la raison à se garantir du mal qui le menace, il est retenu par la pitié naturelle de faire lui même du mal à personne, sans y être porté par rien, même après en avoir reçu. -
Rousseau