Citations / Confucius
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L'énergie des esprits est abondante. On la regarde sans la voir. On l'écoute sans l'entendre. Sa substance et sa forme ne peuven t être perçues. Bien que l'on ne puisse la toucher, elle est manifeste, pareille à l'Océan, et sa réalité ne peut être niée.
Quand vous plantez une graine une fois, vous obtenez une seule et unique récolte. Quand vous instruisez les gens, vous en obtenez cent.
Rendez le bien pour le bien et la justice pour le mal.
La plus grande preuve d'amour qu'on puisse donner à une girafe, c'est de lui tricoter un foulard.
Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions.
Quand on désire savoir, on interroge. Quand on veut être capable, on étudie. Revoyez sans arrêt ce que vous savez déjà. Etudiez sans cesse du nouveau. Alors vous deviendrez un Maître.
Celui qui aime à apprendre est bien pres du savoir.
Celui qui sait obéir saura ensuite commander.
L'expérience est une lanterne accrochée dans le dos.
Quand le sage montre la lune, le sot regarde le doigt.
Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine; réfléchir sans livre ni maître est dangereux.
Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons.
Oublie les injures, n'oublie jamais les bienfaits.
Si un homme parvient dans la matinée à la compréhension du Tao, tout est bien pour lui, même s'il meurt dans la soirée.
Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions.
Travaillez sans relâche comme si vous ne deviez jamais atteindre le but.
Comment un homme dépourvu des vertus propres à l'homme peut-il cultiver la musique?
L'homme honorable commence par appliquer ce qu'il veut enseigner ; ensuite il enseigne.
La voie de la raison n'est pas claire. Les sages la dépassent, les vicieux ne l'atteignent même pas.
Se vaincre soi-même, rendre à son coeur l'honnêteté qu'il tenait de la nature, voilà la vertu parfaite ... Il dépend de chacun d'être parfaitement vertueux.
J'entends, j'oublie. Je vois, je me souviens. Je fais, je comprends.
Rien ne sert de parler des choses qui sont déjà accomplies, ni de faire des remontrances sur celles qui sont déjà très avancées, ni de blâmer ce qui est passé.
Quand la haine ou la faveur de la multitude s'attache à un homme, il faut examiner pourquoi.
Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés.
Etudiez sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans étudier est dangereux.
Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l'égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements.
Savoir que l'on sait ce que l'on sait, et savoir que l'on ne sait pas ce que l'on ne sait pas : voilà la véritable intelligence.
Celui qui ne sait pas ce que c'est la vie, comment saura-t-il ce que c'est la mort.
L'honnête homme exige de lui-même; l'homme vulgaire des autres.
Le sage donne son principal soin à la racine.
Le Maître dit : Ne crains point de rester méconnu des hommes, mais bien plutot de les méconnaître toi-même.
Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses.
Le sage est calme et serein. L'homme de peu est toujours accablé de soucis.
Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette.
Celui qui ne craint pas de promettre de grandes choses à de la peine à les exécuter.
Entre hommes polis et sincéres, il n'y a pas de classes.
Le sage ne s'afflige pas de ce que les hommes ne le connaissent pas; il s'afflige de ne pas connaitre les hommes.